PARTIE VII
L’ACTION
LE SEPTIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE LUI RENDRE GLOIRE POUR L’EXAUCEMENT DE VOTRE PRIERE ET D’AGIR SELON SA PROMESSE
CHAPITRE VINGT-CINQ
LA PREUVE D’UNE FOI VICTORIEUSE
LE SEPTIEME PAS POUR RECEVOIR LA GUERISON MIRACLE EST DE LUI RENDRE GLOIRE POUR L’EXAUCEMENT DE VOTRE PRIERE ET D’AGIR SELON SA PROMESSE
SI VOUS CROYEZ que Dieu a exaucé votre prière et que vous « AVEZ RECU » la guérison demandée, vous voudrez automatiquement : 1) L’en remercier, et 2) utiliser votre santé en la mettant en ACTION.
Abraham « donna gloire à Dieu » pour l’accomplissement de la promesse divine, bien avant que la réponse se manifeste. Il donna gloire à Dieu parce qu’il était « fortifié par la foi » et « croyait » qu’il en serait « selon ce qui lui avait été dit » ; car « ce que Dieu promet, Il peut aussi l’accomplir ». donc, il pouvait LOUER DIEU pour l’exaucement, avant même de voir et de ressentir les effets. Il croyait la Parole de Dieu.
Dans le ventre d’un grand poisson, Jonas s’engagea à offrir des sacrifices « avec un cri d’actions de grâces », avant même que le poisson ne l’ait rejeté sur le rivage.
Josué et son peuple crièrent leurs louanges au Seigneur qui leur avait livré la ville de Jéricho, alors que les murs se dressaient toujours devant eux. Ils croyaient la promesse de Dieu et ils Le bénissaient ; mettant leur foi en action, ils ont défilé autour de la ville. Ils ont loué Dieu et fait le tour de la ville, et finalement les murailles s’écroulèrent et ils remportèrent la victoire.
Dieu vous promet la guérison, et vous avez prié pour l’obtenir. Si vous ne bénissiez pas Dieu pour cette guérison, cela prouverait de deux choses l’une : soit vous ne croyez pas « avoir reçu », soit vous n’êtes pas reconnaissant envers Dieu.
David s’écrie : « Que tout ce qui respire loue l’Eternel ! »
« Par Lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-à-dire, le fruit de lèvres qui confessent Son Nom ».
La foi authentique ne se contente pas de louer Dieu pour l’exaucement, mais elle s’accompagne toujours d’actions correspondantes. Jacques nous dit : « Par mes actes, je te montrerai ma foi ». La foi véritable, c’est être convaincu de la validité des promesses de Dieu, à tel point qu’on Le loue pour l’exaucement et qu’on agit en conséquence, AVANT même de les voir s’accomplir. C’est alors que Dieu agit pour les réaliser.
Après avoir accompli les six premiers pas de la foi pour recevoir du Christ la guérison, il faut aller plus loin. Quand vous priez pour la guérison, vous devez croire qu’Il vous entend et que vous avez reçu l’exaucement … au point de glorifier le Seigneur pour la réponse et d’agir sur la Parole de Sa promesse. Sans cela, votre foi ne vous servira à rien.
Le second chapitre de l’Epître de Jacques se rapporte presque exclusivement à ce secret essentiel de la foi : AGIR SUR LA PAROLE DE DIEU.
« Mes frères, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres (les actions correspondantes) ? La foi peut-elle le sauver ? »
« Si un frère ou une sœur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l’un d’entre vous leur dise : allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez ! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il ? IL EN EST AINSI DE LA FOI : si elle n’a pas les œuvres, elle est morte, en elle-même ». Jacques compare ici la foi à l’amour. Il dit qu’aimer en paroles n’a aucune valeur, si des actes d’amour n’accompagnent pas nos paroles. « AINSI … LA FOI » en paroles est sans valeur si des actes de foi n’accompagnent pas nos paroles.
A New York, une femme, condamnée par les médecins du sanatorium, était rentrée chez elle pour y mourir de tuberculose. Un après-midi, elle lisait la Bible. C’était une excellente chrétienne, mais on ne lui avait pas enseigné la vérité de la guérison divine.
Soudain, elle lit : « Lui, qui a porté Lui-même nos péchés en Son corps sur le bois ».
Elle se mit à pleurer de reconnaissance, parce que Christ s’était déjà chargé de ses péchés. Elle savait qu’elle était prête à mourir. Elle n’avait pas peur, car la Bible disait que Christ s’était déjà chargé de ses péchés.
Tout en se réjouissant de ces Paroles, elle continua sa lecture « … Lui par les meurtrissures duquel vous AVEZ ETE guéris ».
Elle relut la première partie du verset : « C’était au passé : Christ avait déjà porté ses péchés, donc elle était sauvée. Elle le savait. Personne ne pourrait l’en faire douter. Mais, alors, la deuxième partie du même verset : Par les meurtrissures duquel VOUS AVEZ ETE guéri » … ? Se pourrait-il que ce soit aussi littéralement vrai que la phrase qui parlait de ses péchés ? « Oui », pensa-t-elle, « cela DOIT être vrai. C’est la Parole de Dieu ! »
« Maman », s’écria-t-elle, « savais-tu que la Parole de Dieu déclare que je suis guérie ? »
« Mais, ma chérie, que veux-tu dire ? » demanda la mère.
« Regarde donc « , répondit sa fille, le visage ruisselant de larmes. « Ecoute. La Bible dit : « Par les meurtrissures duquel VOUS AVEZ ETE guéris. Maman, c’est chose faite. Je suis guérie. Donne-moi mes vêtements. Je dois me lever ».
La mère essaya en vain de clamer sa fille. Mais celle-ci insistait : « Tu nous as toujours appris à croire toute la Parole de Dieu ? Puisque cette Bible est la Parole de Dieu, c’est la vérité. Donc, je suis guérie, parce que Dieu ne ment pas ! »
Elle se leva, s’habilla et commença à louer le Seigneur, tout en allant et venant à travers la maison ; elle fut complétement guérie. En moins de trois semaines, elle avait retrouvé son poids normal et la radiographie montrait des poumons parfaitement sains.
Que s’était-il passé ? Elle avait cru suffisamment à la Parole de Dieu pour agir en conséquence. Ses actions avaient prouvé sa foi. Elle aurait pu rester au lit et mourir de tuberculose, faute de se lever par la foi en agissant selon la Parole pour revendiquer ce que Dieu avait déclaré lui appartenir.
Des milliers de braves gens meurent prématurément, proclamant sans cesse leur foi en la Parole de Dieu. Mais leur foi ne s’accompagne jamais d’actions correspondantes. Jacques dit : « La foi … à elle seule, si elle ne se manifeste pas par des actes, elle est morte ».
Ils disent croire à la véracité de la Parole de Dieu, mais leurs actions démentent leurs paroles. Ils restent alités et parlent de leur foi, mais craignent cependant de se lever par la foi, d’agir sur la Parole de Dieu, et de revendiquer leur guérison. Leur foi peut être grande, mais elle est morte et ne leur sert donc à rien. Ils n’AGISSENT pas.
Jacques dit, en substance : « Essayez de me convaincre de votre foi, alors que vous n’agissez jamais en conséquence ; moi je vous demanderai d’observer mes ACTES pour voir ma foi ».
Le Révérend Byrum, célèbre professeur d’études bibliques de la fin du XIXe siècle, nous relate un incident de sa vie :
« Peu après que le Seigneur m’eut appelé à travailler pour Lui, j’ai appris une leçon très précieuse sur la foi. Beaucoup de gens étaient tombés malades dans notre ville, et trois membres de notre famille avaient été frappés par la fièvre. J’ai senti la maladie s’emparer de moi et me terrasser. Dans mon lit, avec une forte fièvre et de terribles douleurs, je me suis approché du Seigneur dans une étroite communion, et Lui ai rappelé qu’Il m’avait appelé à un ministère dont j’étais incapable, en vue de ma condition actuelle.
« Ne pouvant appeler aucun ancien qui crût à la guérison divine, je me mis à faire appel au Seigneur, en citant Ses merveilleuses promesses, au nombre desquelles : « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé ».
« J’examinai ma consécration et demandai à Dieu de me sonder Lui-même. J’étais prêt à tout faire pour Lui, et je m’écriai : « Seigneur, je demeure en Toi, et Tes paroles demeurent en moi, donc cette promesse est pour moi. Je remets mon cas entre Tes mains et je T’en prie de tout cœur, GUERIS-MOI ! »
« Puis j’attendis que l’œuvre se fit, mais nul changement ne se produisit. Finalement, je dis : « Seigneur, pourquoi ne suis-je pas guérit ? »
« La réponse fut immédiate : « PRENDS-MOI AU MOT ET LEVE-TOI ».
« Je criai : « Amen, Seigneur, je le fais ». Et sans une seconde d’hésitation, je me levai. Il me semblait que ma tête allait éclater de douleur ; mais, malgré ma faiblesse, j’ai commencé à m’habiller.
« J’étais à moitié vêtu quand j’ai ressenti une légère amélioration. Je suis tombé à genoux et j’ai remercié le Seigneur. Une fois habillé, j’ai continué de rendre grâces à Dieu. Me sentant beaucoup mieux, je suis allé dans la pièce voisine déclarer que le Seigneur m’avait guéri. En vingt minutes, toute fièvre avait quitté mon corps. Immédiatement, je me suis au travail, et dès cet instant je me suis bien porté.
« J’en suis persuadé : si j’étais resté couché, refusant d’agir hardiment sur la Parole de Dieu par la foi, j’aurais dû subir le long siège de cette maladie. A Dieu soit toute la gloire. Cela m’a appris une leçon très utile : faire confiance à Dieu et à Sa Parole. J’ai découvert une chose : quand on AGIT selon sa foi, malgré tous les symptômes contraires, Dieu accomplira toujours Sa Parole ».
Jacques dit : « Comme le corps sans âme est mort, de même la foi sans les œuvres est morte ».
Tout au long de la Bible, les hommes de foi ont aussi été des hommes d’action. Ceux qui ont cru la Parole de Dieu sont ceux qui ont agi sur cette Parole.
Jésus a dit au paralytique : « Lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison ». L’homme n’a pas raisonné : « Mais, Seigneur, je suis paralysé ». Il a cru la Parole de Jésus et a mis sa foi en action. SON ACTION A PROUVE SA FOI.
« A l’instant, il se leva, prit son lit, et sortit en présence de tout le monde ».
Jésus a ordonné à l’homme à la main sèche : « Etends ta main ». Ce dernier n’a pas expliqué que, sa main étant paralysée, ce geste lui était impossible. Il avait assez de foi en la Parole de Jésus pour agir en conséquence. « Il l’étendit, et sa main fut guérie ».
Jésus a rencontré un infirme. Il lui a dit : « Lève-toi, prends ton lit et marche ». L’homme a cru Sa Parole. Il a aussitôt mis sa foi en action, et il a été guéri.
A la maison de Pierre, sa belle-mère était couchée, ayant la fièvre. Luc nous dit que Jésus a chassé la fièvre. Marc nous dit : « Il la fit lever en la prenant par la main, et à l’instant la fièvre la quitta ». Voilà un parfait exemple de FOI EN ACTION : 1) Il chassa la fièvre ; 2) il la fit lever et agir selon sa foi ; 3) la fièvre la quitta.
Dans le livre des Actes des Apôtres, Pierre commande à un infirme : « Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche ». L’infirme agit selon la parole de Pierre, prononcée au Nom de Jésus, et il est instantanément guéri.
Pierre a également dit à un homme paralysé depuis huit ans : « Enée, Jésus-Christ te guérit : lève-toi, et arrange ton lit … Et aussitôt il se leva ».
Nous agissons sur la parole de notre facteur. Il nous dit qu’un paquet recommandé nous attend au bureau de poste. Nous le croyons et nous allons réclamer ce paquet, avant même de l’avoir vu.
Nous agissons sur la parole du médecin. Il dit de prendre trois comprimés par jour. Nous le croyons et nous prenons les comprimés, avant de ressentir une amélioration quelconque.
Nous agissons sur la parole de notre banquier. Il nous avise qu’une somme d’argent a été versée par un ami à notre compte. Nous le croyons et nous tirons des chèques sur cet argent, bien que nous ne l’ayons encore jamais vu.
Nous agissons sur la Parole de notre Père céleste. Il nous dit : « Je suis l’Eternel qui te guérit », « par Ses meurtrissures vous êtes guéris », etc. Nous Le croyons. Nous nous approchons de Lui en prière pour revendiquer la guérison. Nous croyons qu’Il entend notre prière. Nous sortons de notre lit de maladie, et nous rendons gloire à Dieu pour la réponse, avant même d’en ressentir les résultats. NOUS AGISSONS SUR SA PAROLE, ET DIEU LA CONFIRME.
« Je veille sur ma Parole pour l’exécuter ».
« De toutes les bonnes paroles qu’Il avait prononcées … aucune n’est restée sans effet ».
« Tout ce que Dieu avait promis est devenu réalité en Lui ».
« Le ciel et la terre passeront, mais mes Paroles ne passeront pas ».
Aux jours de la Bible, les hommes de foi agissaient selon la Parole « orale » de Dieu ; aujourd’hui, nous agissons selon la Parole « écrite » de Dieu.
Dieu dit : « Moi, l’Eternel, je parlerai ; ce que je dirai s’accomplira … je prononcerai une parole et je l’accomplirai, dit le Seigneur, l’Eternel ».
Daniel a dit : « (Dieu) a accompli les paroles qu’Il avait prononcées ».
Pierre a dit : « La promesse est ASSUREE à toute la postérité », et « ce que Dieu promet, Il peut aussi l’accomplir ».
L’ange a dit : « Aucune Parole de Dieu n’est dénuée de puissance ».
Croyez la Parole de Dieu aujourd’hui même. Agissez sur Sa Parole à cette heure même.
Ce livre vous a apporté une lumière nouvelle. Marchez désormais dans cette lumière.
Votre foi a été édifiée. Ajoutez maintenant l’ACTION à la foi.
Vous êtes au courant des promesses de Dieu ; alors AGISSEZ sur ces promesses.
Imaginez un homme, pieds et poings liés, au fond d’un cachot. Il a demandé un recours en grâce. Le directeur de la prison lui apporte la preuve écrite que sa grâce lui est pleinement accordée. La réaction normale de cet homme n’est-elle pas 1) d’être reconnaissant, et 2) de quitter la prison le plus vite possible, maintenant qu’il est légalement libre ?
Or, supposons que le directeur lui lise le document, fasse enlever ses liens, ouvre tout grand la porte de la prison, et dise : « Vous êtes libre, aller en paix ».
Mais l’homme répond : « Je sais que le document dit que je suis grâcié, et j’en crois chaque parole, mais je suis toujours en prison ».
« Les portes sont ouvertes, sortez ! » insiste le geôlier.
« Je sais que les portes sont ouvertes et que, si j’étais dehors, je serais libre ; mais je ne suis pas dehors ».
« Eh bien, sortez ! » crie le geôlier, « ne croyez-vous pas que la grâce soit réelle ? »
« Oh, si, j’en crois chaque parole, mais il me semble que je n’en sortirai jamais ».
La grâce n’aurait aucune valeur pour un tel homme, parce qu’IL NE VEUT PAS AGIR EN CONSEQUENCE.
De la même manière, les promesses de guérison ne profiteront pas à ceux qui refusent d’agir selon ces promesses.
Peu importe combien vous priez, mendiez, pleurez, et même jeûnez ; si vous n’AGISSEZ PAS SUR LA PAROLE DE DIEU, votre foi est morte et ne vous sert à rien.
Peu importe combien de personnes prient avec foi pour vous, votre propre incrédulité rend leurs prières inefficaces si vous n’AGISSEZ PAS SUR LA PAROLE DE DIEU.
Votre refus d’agir sur Sa Parole n’est en réalité que votre refus d’accepter l’exaucement. Quand vous n’agissez pas selon Ses promesses, cela indique que vous ne croyez pas « AVOIR RECU ». Et Dieu promet qu’Il commencera à vous guérir après que vous aurez cru « avoir reçu » l’exaucement.
Même si vous guérissiez, la maladie reviendrait probablement, si vous n’appreniez pas le secret d’agir sur la Parole de Dieu.
C’est en agissant sur la promesse de DIEU que VOUS PROUVEZ VOTRE FOI.
Beaucoup de ceux qui prétendent avoir toute la foi du monde prouvent exactement le contraire par leurs ACTIONS. Ils diront, par exemple : « Oh, oui, j’ai toute la foi du monde ! J’ai toujours cru la Bible ! Mais, c’est curieux, je n’arrive pas à être guéri. J’essaie sans cesse de croire, mais je n’aboutis à rien ». Ils demeurent au lit, ou continuent de se servir d’appareils orthopédiques.
Ce genre d’homme ne tient pas compte des paroles de Dieu : « Par Ses meurtrissures, NOUS SOMMES GUERIS ». Il refus e de croire qu’Il a été guéri lorsque Christ a subi les meurtrissures par lesquelles nous avons été guéris. Il admet, dans sa tête, que la Parole de Dieu est vraie, mais il n’y a jamais cru dans son cœur, et il n’a jamais AGISUR LA PAROLE DE DIEU. La foi s’exprime toujours mieux en ACTIONS qu’en PAROLES. Dans l’Evangile selon Saint Marc, quatre hommes sont venus portant leur ami paralysé, et l’ont fait descendre à travers une ouverture pratiquée dans le toit. Jésus, « VOYANT LEUR FOI » - non pas les entendant se vanter de la grande foi qu’ils possédaient, mais VOYANT leurs ACTIONS.
Ne parlez pas de votre foi, ne vous en vantez pas. Si vous avez la foi, parfait ! « Sans la foi il est impossible de Lui être agréable » ; mais n’en parlez pas à tout bout de champ. FAITES AGIR VOTRE FOI. CROIRE, c’est cela !
Puisque Dieu dit : « Je suis l’Eternel qui TE guérit » et « … qui guérit toutes TES maladies », AGISSEZ EN CONSEQUENCE, et permettez à Dieu d’en faire une réalité. Ne restez pas au lit, à vous vanter de votre foi tout en vous plaignant de votre douleur. Levez-vous et prenez Dieu au mot ! AGISSEZ SELON VOTRE FOI, et Dieu réalisera Sa Parole en votre faveur.
A mesure que vous AGISSEZ SUR LA PAROLE, votre foi se fortifie, lorsque vous permettez à la Parole de vivre en vous, comme elle vivait en Jésus. Vous devenez ainsi un de ceux qui METTENT LA PAROLE EN PRATIQUE – au lieu de se borner à en parler. Dieu est aussi proche de vous que de tout autre être humain, et Il vous exauce tout aussi rapidement. Dieu est VOTRE Dieu. La PAROLE est à VOUS. Christ, le Divin Médecin est à vous !
Puisque Dieu dit : « Je suis l’Eternel qui TE GUERIT », et que vous le croyez, vous AGIREZ EN CONSEQUENCE. Alors, celui qui est alité se lèvera par la foi et sera guéri. Le boiteux sautera comme un cerf. Le muet se mettra à chanter. Les oreilles sourdes s’ouvriront. Les douleurs s’envoleront. L’obscurité sera bannie, et vous commencerez à FAIRE les choses mêmes que vous ne pouviez PAS FAIRE avant de prendre Dieu AU MOT, D’AGIR SELON SA PAROLE, et d’être guéri.
Dieu créera en votre corps ce dont vous avez besoin pour être sain et fort. La faiblesse se transformera en force, la mort en vie, la maladie en santé, et l’impossible deviendra possible.
Pendant une de nos campagnes, la foule se massait autour des murs de la salle dès trois heures de l’après-midi, attendant l’ouverture des portes à 18 h 30. Une pauvre femme était venue de très loin, portant sur son dos son mari qui était paralysé des suites d’une congestion cérébrale. A son arrivée, le portail extérieur était fermé. Voyant des centaines de gens escalader le mur pour pénétrer dans la cour, elle a hissé son mari par-dessus le mur avec elle ; puis elle l’a relevé et est venue le déposer devant moi afin que je prie pour lui. C’était la foi en action. Bien entendu, cet homme a quitté la salle en marchant, guéri par la puissance de Dieu ! LA FOI EN ACTION TRIOMPHE TOUJOURS.
Ne craignez jamais de CROIRE DIEU et D’AGIR SUR SA PAROLE. Rappelez-vous ce que Jésus a dit au père de la jeune fille, quand des sceptiques lui disaient qu’elle était morte : « Ne crains pas, CROIS seulement ». Il a dit : « ce qui est IMPOSSIBLE aux hommes est POSSIBLE à Dieu ».
COMMENT RECEVOIR LA GUéRISON MIRACLE