SOMMAIRE



COMMENT RECEVOIR LA GUéRISON MIRACLE



T.L. OSBORN




Avec l'aimable autorisation de "OSBORN FONDATION"






CHAPITRE DIX


SATAN A SABOTE LE PLAN


S’Il voulait que cette belle création, modelée à Sa ressemblance, soit malade ou infirme, lui aurait-Il donné une DIEU A CREE l’homme et la femme parfaits – physiquement, mentalement, spirituellement, - et Il les a placés dans le Jardin d’Eden, lieu d’abondance matérielle.


C’était le plan de Dieu, pour vous.


S’Il voulait que cette belle création, modelée à Sa ressemblance, soit malade ou infirme, lui aurait-Il donné une telle perfection ?


Mais le péché est venu. Satan, le tentateur, a persuadé Adam et Eve de mettre en doute la Parole de Dieu par cette question : « Dieu a-t-Il réellement dit ? »


Ils en ont conclu que Dieu n’avait PAS dit ce qu’Il voulait dire quand Il les a avertis que la désobéissance les entraînerait dans la mort. Aussi ont-ils désobéi à Sa loi, et ont dû être chassés du paradis que Dieu avait créé pour leur bonheur.


La bonté s’est transformée en tristesse, l’amour s’est changé en haine. La maladie, antichambre de la mort, venait de fermer ses portes sur l’humanité. La beauté s’est ternie. La foi a cédé à la méfiance, et la confiance à la fraude.


Ces corps pleins de santé sont devenus sujets aux tortures diaboliques infligés par Satan qui est venu « pour dérober, égorger et détruire ».


La douleur et la souffrance, la maladie et l’infirmité, la dégénérescence et la mauvaise santé sont devenues une plaie ouverte, à tel point que la seule issue à cette chambre de tortures était la mort elle-même – le coup de grâce asséné à l’humanité créée par Dieu.


Le péché et la maladie, comme des frères jumeaux, ont marché main dans la main à travers chaque génération depuis Adam. La beauté physique et la santé ont été balafrées par la maladie sous toutes ses formes. L’esprit et le cœur humains ont été rongés par le péché et la corruption.


Malgré les triomphes éclatants de la science médicale et en dépit des exploits presque prodigieux de la chirurgie moderne, les êtres humains sont encore menacés par le déferlement pernicieux d’une myriade de maladies complexes, contre lesquelles l’homme n’a pas encore pu découvrir ou perfectionner de traitement permanent – qu’il s’agisse d’un rhume ordinaire ou d’un cancer sans pitié.