TEMOIGNAGE DE LA FOI
GAGNEURS D'AMES
- Introduction Lire
- Préface Lire
- Va rejoindre ce char Lire
- Faisons un voyage Lire
- L'affaire en bref Lire
- Le Tonus du Gagneur d'Ames Lire
- Un temps de reflexion Lire
- Un Bouchon Mental Lire
- La vision 20/20 Lire
- Initiative Inspirée Lire
- Née dans un embrasement Lire
- POURQUOI GAGNER DES AMES
- I Jésus était un gagneur d'Ames
- Chap10:Le Plus Grand Appel Lire
- II La moisson est si grande
- chap11: Là où sont les gens Lire
- III Les ouvriers sont si peu nombreux
- chap12:Me Voici ! Envoie-Moi !Lire
- IV Le grand commandement de Christ
- chap13:Le Choix de Gagner Lire
- V Prophéties encore inaccomplies
- chap14:Les Oubliés Lire
- chap14:Les Oubliés Lire
- VI Le sang des inconvertis
- chap15:Première Priorité Lire
- chap16:Notre Siècle Lire
- chap17:Visions Pour Vaincre le Racisme Lire
- chap18:La Foi pour le Salut Lire
- chap19:L'Evangélisation En Masse Lire
- chap20: Mission à Toutes les Races Lire
- chap21: Miracles, Signes et Prodiges Lire
- chap22: Témoins de Christ Lire
- chap 23: L’Empereur – Le Moine Lire
Les sept pas vers la guErison
- Préface Lire
- Chapitre un Lire
- Chapitre II Lire
- Chapitre III Lire
- Chapitre IV Lire
- Chapitre V Lire
- Chapitre VI Lire
- Chapitre VII Lire
- Chapitre VIII Lire
- Supplément Lire
Michel Genton / T.L OSBORN
- 1968 première rencontre:par une bande magnétique Lire
- 1978, deuxième rencontre à Paris Lire
- 1979, troisième rencontre Lire
- Tulsa en Oklahoma Lire
- 1986, cinquième rencontre Lire
- 2001, sixième rencontre:Du 2 au 4 juin, chez nous, à la communauté du château Lire
- Tulsa en Oklahoma Lire
- 2006, huitième rencontre: Paris Aout Lire
Archives
predications
Prédications en format audio mp3 ' en savoir plus'
TEMOIGNAGE DE LA FOI
Par T.L. Osborn
Publié par OSBORN FOUNDATION
CHAPITRE DIX
CONFESSER, C'EST POSSEDER
Voyez Rom. 10 : 9 : « Si tu confesses de ta bouche Jésus comme Seigneur, et si tu crois dans ton cœur que Dieu L'a ressuscité des morts, tu seras sauvé ».
Ce mot « sauvé » est traduit du mot grec « sozo » qui signifie être guéri spirituellement et physiquement. Etre guéri de corps et d'âme ou sauvé du péché ou guéri de la maladie. Ce mot se traduit par « guérir, préserver, sauver, rendre entier ».
Confesse, puis possède
Notez que plus loin Paul dit : « Car c'est en croyant du cœur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut » (verset 10).
Remarquez ! La confession... nous fait parvenir au salut.
Ainsi donc le salut ne vient qu'après la confession. Autrement dit, il faut croire et confesser avant d'expérimenter le résultat. Cela c'est la foi, et « vous êtes sauvés par grâce, par la foi » (Eph. 2 : 8).
Rappelez-vous toujours ceci : La confession vient en premier, et ensuite, Jésus qui est le Souverain sacrificateur de notre confession, répond en accordant ce que nous avons confessé.
Il n'y a pas de salut sans confession, c'est toujours « la confession à salut ». Jamais de possession avant la confession.
Notre confession fait que le « Souverain Sacrificateur de notre confession » nous accorde d'entrer en possession de ce que nous croyons avoir « en croyant du coeur ». Cela c'est la foi.
Dieu est un Dieu de foi, et Il nous demande d'avoir la foi.
Nous ne recevons de Dieu que les choses que nous attendons vraiment. « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu et vous l'aurez » (Marc 11 : 24).
Qu'est-ce que la confession ?
La confession, c'est le témoignage de la foi sortant de notre bouche.
La confession c'est simplement se mettre d'accord avec Dieu ; c'est dire ce qu'Il dit, prononcer les paroles de Dieu ; employer les expressions et les déclarations de Dieu, reconnaître vraie la Parole de Dieu.
La confession est la seule manière d'exprimer sa foi par le témoignage.
Paul disait qu'il prêchait « la Parole de la Foi » et qu'elle doit être « dans nos coeurs » et « dans nos bouches ».
Pour avoir la Parole de la foi dans nos bouches, il nous faut seulement
exprimer la Parole de Dieu. Voilà la confession, faire que nos lèvres soient d'accord avec Dieu ; que nos bouches parlent la Parole de Dieu. Lisez Rom. 10 : 8).
Dans Apocalypse 12 : 11, il nous est dit que ceux qui vainquirent Satan, le firent « par le Sang de l'Agneau et par la Parole de leur témoignage », ce qui veut dire au moyen des Ecritures qu'ils citaient en rendant leur témoignage.
Le Souverain Sacrificateur de notre confessions
On nous demanda de prier pour un homme très faible et malade. Il ne « sentit » aucun résultat immédiat.
Quand nous lui demandâmes de répéter ce que Dieu disait : « Par Ses meurtrissures je suis guéri » et de louer le Seigneur qui lui accorde la guérison selon Sa Parole, notre demande le mit mal à l'aise car elle lui semblait une parfaite hypocrisie et il ne tarda pas à nous dire qu'il ne croyait pas au témoignage de ce qu'il n'avait pas.
Il dit qu'il était sincère et qu'il ne voulait pas jouer l'hypocrite. Quelle complète et folle ignorance !
Cet homme jaugeait sa guérison d'après ce qu'il « sentait ». Cela n'est pas la foi.
Ce n'est sûrement pas être hypocrite que de dire ce que Dieu dit.
La confession d'une promesse donnée par la Parole de Dieu, faite du cœur, conduit toujours à la possession de la promesse.
Je ne demandais pas à cet homme de dire « Je ne suis pas malade », mais de dire seulement ce que Dieu dit, de reconnaître vraie cette Parole de Dieu : « Par Ses meurtrissures, je suis guéri ». C'est une calomnie de déclarer un homme menteur parce qu'il déclare ce que Dieu dit, et cependant c'est ce que prétendait cet homme.
Finalement, Dieu dans Sa miséricorde lui donna de « sentir » sa « guérison » et « quand il SENTIT, il CRUT comme THOMAS : « Si je ne vois dans Ses mains la marque des clous JE NE CROIRAI POINT » (Jean 20 : 25).
Nous priâmes pour un homme atteint d'arthritisme aux épaules et aux bras. Dès que nous eûmes prié, il « sentit » aussitôt une merveilleuse bénédiction. Il fut ému parce qu'il sentit quelque chose mais « hélas », lorsqu'il ne « sentit » plus la « bénédiction » il « sentit » de nouveau la douleur. Cela le découragea. Il vint me dire : « Ecoutez comme mes jointures craquent et grincent ». Au lieu de dire : « La Parole dit que je suis guéri et je sais que je vais me rétablir ». Il méprisa la Parole de Dieu en faisant attention à l'évidence physique.
Je lui parlai d'un cas similaire. Nous avions prié pour une dame et elle
crut parfaitement. Deux jours plus tard, elle revint démontrer que ses jointures allaient à la perfection. Sa foi l'avait libérée. Cet homme me dit alors : « Je suis content que vous l'ayez dit. Cela m'encourage. Je craignais de ne pas guérir. Mais si cette dame a été guérie, je le serai donc aussi ».
Voyez-vous maintenant ce que j'essaie de vous montrer dans ce message ? LA PAROLE DE DIEU ne signifiait absolument RIEN pour cet homme.
La promesse donnée par Jésus : « Ils imposeront les mains aux malades et ils SERONT GUERIS » était absolument VIDE DE SENS pour lui. Il
sentait une douleur, donc la Parole de Dieu ne s'était pas accomplie. Mais quand il se « SENTAIT BIEN » il était sûr que la Parole de Dieu était vraie.
Apprenez à confesser ce que Dieu dit et Sa promesse sera accomplie pour vous, car Il est le « Souverain Sacrificateur de NOTRE CONFESSION ».
La confession de : « Je suis l'Eternel qui te guérit » et « Par Ses meurtrissures je suis guéri » précède toujours la guérison, exactement comme la confession que nous faisons du Seigneur précède le Salut (Romains 10 : 9-10).
Jésus est le Souverain Sacrificateur de notre confession, lorsque nos paroles (ce que disent nos lèvres) sont d'accord avec Sa Parole. Il agit selon ce que nous disons.
Nous ne devons jamais confesser autre chose que la victoire, car Paul dit : « En toutes choses nous sommes plus que vainqueurs » (Rom. 8 : 37).
Imprimer ou télécharger le document complet 400ko